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Messages

Affichage des messages du février, 2018

Le Temps d’une escale

Avais-je à me creuser les méninges aujourd’hui pour titrer ce billet? Nenon M’sieurs-dames ! Un petit colis, s’étant posé après un long vol transatlantique dans ma boîte aux lettres hier, me l’a soufflé.   Je vous raconte …   Dans mes débuts de blogueuse, par l’entremise d’une Bonne Fée ,   j’étais entrée en contact avec un Blogueur Français, talentueux peintre et écrivain de surcroît!   Mystérieusement disparu de l’espace sidéral internaute fin 2012, voilà qu’il y a quelques semaines, par je ne sais quel inexplicable tour de magie et fort heureusement, M. Sobieraj a retracé Fitzsou! Assidu blogueur quotidien , nous échangeons depuis, mots épars selon le décalage existant entre nos villes. Un jour, M. François me demanda lesquels de ses bouquins j’avais eu la chance de lire.    Escales africaines ne figuraient pas sur ma liste! Vous avez déjà deviné la suite! Eh oui! C’est bien le livre qui se trouvait dans l’enveloppe blanche ayant quitté Ouveillan le 14 f

Parle parle, jazz jazz

Que faire un lundi soir, en pleine semaine de relâche quand on n'a plus l’excuse des enfants à la maison? On sort entendre Charles Trudel au Théâtres des Eskers voyons!   Le talentueux jeune homme de 31 ans, originaire d’Amos, a retrouvé avec bonheur en ce doux lundi, les gens, la ville, la scène et même le piano ayant marqué sa jeunesse. Artiste maintenant de renommée mondiale, il était fier de se produire parmi les siens. Comme il s’est plu à le dire, jamais depuis qu’il galvaude dans différents pays, il n’avait vu autant de visages connus et aimés. Charmant! Accompagné de trois musiciens chevronnés ( le saxophoniste Benjamin Deschamps, le bassiste Sébastien Pellerin et le batteur Alain Bourgeois ), d’un commun accord et sans fausse note, ensemble ils nous ont jazzé les oreilles, y allant parfois d’une échappée en solo ou encore, se lançant dans une quelconque improvisation contrôlée. Peu loquace, Charles ( maintenant que j’en parle sur ce blogue, je consid

Pour avoir si souvent

Samedi matin s’étirait paresseusement, exactement comme j’affectionnais maintenant les débuts de journée. Sirotant l’habituel café au lait accompagnant la phase du qu’est-ce-que-je-fais-aujourd’hui , l’envie me vint de prendre des nouvelles de l’Oncle Jac.    Parce que je m’inquiétais du comment il se débrouillait avec sa récente solitude, depuis le départ de sa Compagne de Vie des 30 dernières années . J’avais enfoncé à quelques reprises depuis la mi-janvier, les touches de son numéro. Sans réponse. Ça m’intriguait. Pouvait-il être malentendant à ce point? Pouvait-il, curieusement, être absent à chaque fois que je tentais de le joindre?  Ce matin-là, après être une fois de plus, restée sur une sonnerie qui ne trouvait pas preneur, l’idée me vint de téléphoner au seul Oncle maternel qui pagayait encore sa Vie. Après quelques échanges, j’appris qu’Oncle Jac était possiblement hospitalisé. Le Temps d’effectuer quelques recherches, je le trouvai enfin : Hôpital Mais