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Quand l’ange disparaît…



« … Je me suis enfuie un beau samedi. J’ai repris la 117 jusqu’à St-Sau. Un « concert de piano sous les chandelles », nous attendaient, Bonne Amie G et moi, à l’église du même endroit. Sublime!
 
Il ne m’en fallait pas plus pour planifier en ce week-end de la Fête des Mères, moult visites à des Tantes que je ne vois plus guère. Dollard-des-Ormeaux, Montréal, Pointe-aux-Trembles. Toutes âgées dans les quatre-vingt très avancés, j’avais le goût de me faire raconter un peu de leur passé. Un peu de leur histoire. Un peu de l’histoire de Papa Fitzsou. Et de celle de Maman Fitzsou.


J’ai aussi pris le Temps d’une jasette avec Tante Mih. Oh! Et des soupers! L’un avec Cousin Cll, Montréalais d’adoption. Un autre avec Cousine Job, Mascouchoise… Bref, une tonne et demie de tendres moments, tous bords, tous côtés.


En résumé : tournée familiale printanière? Check!


Après avoir fait une belle-belle rencontre auprès de Dame Clr ayant gentiment accepté de me rencontrer pour me briefer sur les préparatifs du Chemin St-Rémi, je retournai le mardi soir, auprès de Bonne amie G et de Blandine (!), pour attendre impatiemment, le retour de ma Bonne Fée. Pour entendre son escapade parisienne. Ses découvertes. Ses coups de cœur.


Nous sommes reparties, Bonne Amie G, sa Belle-Maman et moi, jeudi matin. Faire la route en jasant et en écoutant les silences. Réintégrer le quotidien avec dommages collatéraux le vendredi matin, avec un sol tout blanc. Zut!...


Un 20, le 20, clos avec un verre de 20


C’était ma priorité étant donné la sédentarité dans laquelle je m’étais laissée mariner six jours durant. Ainsi, dès vendredi, après avoir passé quelques heures auprès de Papa Fitzsou, et lui avoir donné nouvelles de sa famille, je m’empressai d’aller emprunter un Flynn à mon Jeune Frérot. J’avais besoin de reprendre la randonnée-toute-équipée


Flynn et moi, on fit un 8 kilomètres facile.



Pour ce samedi, j’en prévoyais 20, dont 10 avec l’Amie Lil. Et je l’ai fait! 21.71km exactement. Mais ce soir, j’ai les jambes en compote et mon lit m’appelle depuis déjà quelques heures. Que voulez-vous : on n’a pas tous les jours 20… ans!


Prochaine absence prévue à l’horaire printanier : 8 juin.


Mais là, j’aurai affaire à me bouger les fesses pour avancer.

Et à prier pour que ça se fasse tout seul. 
Mentalement du moins… »

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